Transactions & contentieux de la vente immobilière

STRUCTURE AVOCATS accompagne vendeurs et acquéreurs à chaque étape de la vente d’un bien immobilier. 

En qualité de mandataires en transactions immobilières, nous sécurisons toutes les démarches, de la préparation de la vente jusqu’à la signature définitive, en veillant à la conformité et à la fluidité de chaque étape.

Notre expertise couvre également le contentieux de la vente immobilière : nous défendons vendeurs et acquéreurs en cas de litige (vices cachés, non-conformité, défaut de paiement) en privilégiant des solutions amiables ou, si nécessaire, des actions judiciaires.

STRUCTURE AVOCATS vous assure ainsi un accompagnement complet, alliant sécurité transactionnelle et défense efficace de vos intérêts dans toutes vos opérations immobilières.

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Vous accompagner et vous défendre lors de la vente de biens immobiliers

Un accompagnement sur-mesure

Faire aboutir votre projet immobilier ou défendre vos intérêts dans le cadre d’un contentieux exige une approche pragmatique, conçue pour répondre aux besoins spécifiques de chaque client.

Chez STRUCTURE AVOCATS, nous vous accompagnons grâce à des interventions complémentaires, garantissant la mise en place de stratégies parfaitement adaptées à vos enjeux.

Partant de vos besoins, nous adoptons une démarche proactive et sur-mesure, visant à offrir des solutions pleinement alignées avec vos attentes.

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FAQ

La promesse de vente est un contrat qui lie les parties pendant une certaine durée.

La révocation de l’engagement d’une des parties pendant ce délai nécessite donc en principe le consentement de l’autre.

Il existe cependant deux cas particuliers dans lesquels le vendeur ou l’acquéreur peut rompre le lien contractuel de façon unilatérale.

  • le cas de l’acquéreur non professionnel d’un bien à usage d’habitation qui bénéficie au stade de la promesse de vente d’un droit de rétractation de 10 jours article (article L. 271-1 du code de la construction et de l’habitation). 
  • le cas du bénéficiaire d’une promesse unilatérale de vente qui peut ne pas lever l’option mais perd alors l’indemnité versée.

Du côté du vendeur

Soit le vendeur ne souhaite plus vendre, l’acquéreur  pourra prétendre à l’exécution forcée de la promesse contre le vendeur, en ayant pris soin de lever l’option au préalable s’il s’agit d’une promesse unilatérale.

En pratique, l’acquéreur mettra en demeure le vendeur de se rendre chez le notaire aux fins de signature de l’acte de vente.

Si le vendeur ne s’exécute pas, il sera dressé un procès-verbal de carence à son encontre, que l’acquéreur veillera à faire publier.

Muni de la preuve du défaut du vendeur, l’acquéreur pourra alors réclamer en justice l’exécution forcée de la promesse, en demandant que le jugement vaille vente.

Du côté de l’acquéreur

Dans le cas d’une promesse unilatérale de vente, le bénéficiaire n’a pris aucun engagement d’acheter.

Il ne saurait donc se voir imposer de signer l’acte de vente, mais il s’expose à la perte de l’indemnité d’immobilisation versée.

En revanche, dans le cas d’une promesse synallagmatique de vente, le vendeur peut agir en exécution forcée contre l’acquéreur, ce dernier ayant pris l’engagement d’acheter aux termes de la promesse.

Le vendeur pourra également réclamer des dommages-intérêts au titre de la réparation de son préjudice, qui peut exister indépendamment de l’immobilisation de l’immeuble.

En droit français, c’est le propriétaire qui supporte le risque de perte ou de détérioration de l’immeuble.

L’article 1601 du code civil dispose que si, au moment de la vente, l’immeuble est démoli en totalité, la vente est nulle.

En revanche, si une partie seulement de l’immeuble est démolie, l’acquéreur a le choix entre renoncer à l’acquisition ou poursuivre l’achat en demandant une réduction du prix.

Soulignons que dès la conclusion de la promesse de vente, sauf clause contraire, l’acquéreur du bien assuré se voit transmettre l’ensemble des droits nés du contrat d’assurance souscrit par le cédant et peut en conséquence réclamer le versement entre ses mains de l’indemnité due au titre du sinistre, alors même que celui-ci serait antérieur au transfert de propriété (Cass. civ. 3, 7 mars 2019, n° 18-10.973).

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